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Tanzanie, safari dans les grands parcs, et farniente à Zanzibar

Film de Maxence sur son voyage, à présenter à sa classe de CE2 : https://youtu.be/PAYf55ZhaZo

7 jours de safari et 5 jours sur l'île de Zanzibar en famille

avec Nomade aventure : http://www.nomade-aventure.com/

11/02. VOL PARIS / KILIMANDJARO AIRPORT - ARUSHA

Nous avons pris un taxi collectif vers 16 h pour aller à l'aéroport. Plus simple et moins stressant. 

 

Nous avons décollé vers 21h45. 


12/02 ARUSHA

Arrivés vers 13 h, heure locale(+2). Le temps de faire les visas , nous sommes sortis de l'aéroport vers 15 h. Notre guide David nous attendait à la sortie. Il nous a déposé à l'hôtel, jus de fruit frais, et briefing pour la journée du lendemain, avec un récapitulatif de notre programme de 15 jours afin de voir si tout correspondait. Nous avons pu nous rafraîchir et nous détendre dans la piscine. Passer de 3° à 30°, il faut s'adapter.


13/02 ARUSHA - PARC NATIONAL DU TARANGIRE

Après le petit déjeuner, direction le Parc National du Tarangire pour effectuer notre première journée safari à travers une multitude de paysages différents : rivières et étangs, la savane marquée de petits massifs rocheux à l’horizon, mélange de bush et d’ébène, acacias et baobabs…

Nous voyons nos premiers animaux, girafes, éléphants, autruches, vautours, gazelles, tortues, babouins, etc...

Sur une colline nous découvrons notre lodge, un endroit incorporé dans la végétation entre les rochers. Nos chambres, dans de grandes tentes, sont meublées avec goût, WC et salles de bains dans le même style. Une vue magnifique sur la plaine où un troupeau de vaches, moutons, chèvres, gardé par un Masai, élève un nuage de poussière dans le ciel bleu.

Nous contemplons le soleil plonger derrière l'horizon, un verre à la main avant de rejoindre notre chambre pour nous endormir avec le cri des hyènes et nous réveiller avec les chants des oiseaux. 

14/02 - PARC DU TARANGIRE – KARATU

Départ pour notre safari dans le parc d'une surface de 2850 km2(un peu plus grand que l’île de la Réunion). Le parc entoure la vallée de la rivière Tarangire. Il présente une forme allongée, près de 100 km de long et en moyenne 30 de large. Son altitude moyenne est de 1 100 mètres, et le relief est globalement peu marqué à l'exception de la vallée creusée par la rivière. Le parc offre de vastes paysages de plaines vallonnées. Il est bordé à l'ouest par l'extrémité orientale du rift africain.

 En après-midi, après le pique-nique, pendant lequel des milans noirs rasaient nos têtes pour essayer de récupérer de la nourriture, départ pour la région de Karatu (env.1h30). Un beau point de vue en hauteur sur le lac Manyara. La végétation a changé, avec des reliefs verdoyants. Temps libre au lodge très fleuri, au milieu d’une plantation de café, où on a pu  profiter du cadre et de la piscine. La vue de la terrasse au soleil couchant, nous montre une terre rouge, cultivée, ravinée. Le repas et le petit-déjeuner sont excellents. Les chambres ressemblent à des suites avec salles de bains immenses. 

15/02 - LAC EYASI - TRIBUS DATOGA ET HADZABE – OLDUVAI (zone de conservation du Ngorongoro)

Les Hadzabés sont les premiers habitants connus de Tanzanie. Leur présence sur les rives du lac Eyasi remonte à près de quarante mille ans. Leur population s'élève à environ mille individus, dont 300 à 400 vivent comme chasseurs-cueilleurs, comme leurs ancêtres il y a des dizaines de milliers d'années, avant l'invention de l'agriculture. Ils vivent sans règles ni calendrier, ils n'ont ni culture, ni bétail, ni abri permanent. Ils n'organisent ni funérailles ni cérémonie d'aucune sorte. Ce sont les derniers chasseurs-cueilleurs d'Afrique. Les fruits, les baies et les racines rapportés par les femmes prévalent sur le gibier dans le régime alimentaire des Hadzas. Les hommes, eux, récoltent du miel et chassent à l'arc.

En dehors de la division sexuelle du travail, la société hadza est strictement égalitaire : pas de propriété privée, pas de chef, pas de règles religieuses. Les notions de possession et de contrôle des terres sont dénuées de sens. Si un conflit surgit et persiste entre deux personnes, l'une d'elles choisit simplement de rejoindre un autre camp. Il en va de même pour les mariages : ils se font et se défont librement.

Nous avons fait une partie de chasse avec 3 chasseurs à l’arc qui nous ont allumé un feu à l’aide d’un bois tournant sur un autre jusqu’à échauffement. Ils ont fait cuire cuire les 3 tourterelles pour les partager avec nous. De retour au camp, ils nous ont fait tirer à l’arc. Une cible de 20 cm de diamètre posée au sol à environ 20 mètres était le but à atteindre. Matéo eu un peu de mal à tendre l’arc qui était très rigide. Ma première flèche passa à 1 mètre de la cible. Plus concentré, l’arc plus tendu, la deuxième se planta en plein dans le mille. Très surpris de mon exploit, aidé par une chance énorme je n’ai pas renouvelé l’expérience. Les Hazabés se mirent à chanter et à danser, le guide me dit qu’ils voulaient que je reste avec eux pour devenir leur chef. J’ai fait quelques pas de danse en chantant avec eux une langue que je ne comprenais pas. Ils parlent la langue clic. Un ou plusieurs claquements de langue s’intercalent entre les syllabes.

Les Datogas : Chassés à l’époque sur les rives du lac Eyasi au fil des guerres avec les Masaïs, les Datogas sont des pasteurs originaires de la région du Ngorongoro. On dénombre aujourd’hui 7 tribus réunissant environ 90 000 personnes. Anciens nomades, les Datogas sont aujourd’hui sédentaires et vivent dans des huttes en boue séchée entourées par des clôtures d’épineux, en permanence avec leurs troupeaux, cette tribu a beaucoup de points communs avec les Masaïs, notamment la danse et le chant. Ils sont par ailleurs de très bons forgerons, ce qui favorise les échanges des armes fabriquées contre de la nourriture avec les Hadzabés.

Dans une hutte un forgeron a fait fondre un vieux robinet en métal bronzé avec du charbon de bois pour le mouler et lui donner la forme d’une tige de 20 cm sur 1 cm de diamètre. Après quelques coup de marteau et de ciseau, il avait fabriqué un bracelet jonc que les filles se sont empressées d’acheter 10 $ sans marchander. Le souvenir de cet objet par le lieu, voir la fabrication, vaut encore bien plus dans leur mémoire.

Nous avons repris la route vers Endulen, pays des Masaïs. Des dizaines de bergers accompagnent leur troupeau composé parfois de 50 bêtes, au moins, sur des dizaines de kilomètres pour trouver une ration quotidienne.

A Endulen, a lieu 2 fois par mois, le 2 et le 15, le marché aux bestiaux de renommée nationale. En règle générale il n’y a pas de touristes. C’est vrai, nous étions les seuls, et cette fois c’est nous qui étions les plus observés. Sur un champ assez important, s’étalaient toutes sortes de vêtements, chaussures, colliers, animaux, barbecue où grillait des morceaux des viandes qui semblaient très appétissants. Tous avaient l’habit traditionnel, rouge ou bleu. Les chaussures en vente, étaient soit des chaussures de foot en plastique, soit un genre de spartiates confectionnées dans de vieux pneus de moto. Des colliers, des bracelets, des coiffes, étaient proposés aux filles par les marchandes parées de bijoux au cou, aux bras, aux chevilles.

 

L’arrivée au camp d’Olduvai est surprenante. Au milieu d’une grande plaine immense, se dresse un bloc de rochers. Autour, sont aménagées à l’anglaise, comme autrefois, de grandes tentes(30m²) avec salle de bains et wc.

Avant le dîner, nous avons fait une promenade à pied escorté par les guerriers Masaï jusqu’au sommet d’un Kopje pour profiter de la beauté et de la richesse des paysages d’Olduvai et admirer les lumières du coucher du soleil sur les grandes plaines du Serengeti.

Un apéro autour d’un petit feu de bois devant les tentes, surveillés par les Masaïs.

Là encore le buffet et le service sont de qualité.

Vers 21h, un guerrier Masaï nous accompagne à nos tentes. 

16/02 - SERENGETI

 

Le parc national du Serengeti (Sérengéti) est un grand parc national situé au nord de la Tanzanie (Afrique de l'Est) qui s'étend sur 14 763 km2(2 fois le département de l’Allier). C'est le second parc animalier d'Afrique ; environ quatre millions d'animaux dont plus de 400 espèces d'oiseaux y sont présents. Il est surtout connu pour ses deux migrations annuelles de millions de gnouszèbres et gazelles de Thomson.

Gnous : 1 600 000 - Gazelle de Thomson : 300 000 - Zèbres : 250 000 - Impalas : 120 000 - Buffles : 100 000 - Gazelle de Grant : 30 000 - Topis : 30 000 -Bubales : 20 000 - Elands : 13 000 - Girafes : 12 000 - Éléphants : 2 100 - Hyènes : 7 500 - Lions : 3 000 - Guépards : 350
Célèbre pour ses immenses plaines réputées pour la migration annuelle de milliers de gnous, ce parc offre au regard des paysages grandioses : la savane herbeuse des plaines infinies au Sud, les régions boisées et vallonnées à l’Ouest, la région des Kopjes (formation granitique) à l’Est et la savane arbustive au Nord. Sanctuaire de la plus grande concentration de faune sauvage, buffles, zèbres, antilopes, gazelles et girafes, ainsi que leurs prédateurs : les félins. Sensation de liberté que vous procureront les grands espaces qui caractérisent les plaines du Serengeti. Après les pluies, cette étendue dorée se transforme en un immense tapis vert piqueté de fleurs sauvages.
Le léopard constitue une population extrêmement difficile à recenser, car l'animal est très discret. Il se camoufle et habite les arbres et les rochers. Nous avons eu la chance d’en voir un qui dormait dans un arbre.

Juste avant le passage d’un portique annonçant l’entrée de la réserve, je repère un vol de vautours. Certains sont posés, encerclant un animal mort. David vient se garer à quelques mètres, et nous observons la scène. Une vingtaine de vautours plongent leur tête dans le ventre d’une antilope. Un chacal, la tête rouge de sang comme les vautours essaie de profiter du festin. Les vautours le chassent, quand deux autres énormes vautours aux pattes recouvertes de plumes blanches comme des jambières les font s’écarter. Les ailes légèrement écartées, ils ressemblent à deux gros caïds roulant des mécaniques. Une hyène arrive et fonce vers la dépouille, tous s’écartent sans broncher. Elle saisit la gazelle et part au loin en courant. Les vautours et le chacal la regardent partir en pensant que leur repas ne pourra reprendre que quand elle sera rassasiée.

Des lionnes font la sieste sur un rocher à l’ombre d’arbustes.

David, avec l’aide de ses collègues nous arrête à quelques mètres d’une femelle guépard et ses trois petits. Le nez au vent elle guette les gazelles. Son approche de félins est silencieuse et impressionnante de beauté. D’un bond elle part en courant sur une gazelle qui détale à toute vitesse. Quelques dizaines de mètres plus loin, elle abandonne, la gazelle a trop de distance avec elle. Elle retourne boire et retrouver ses petits. La scène nous laisse sans voix, émerveillés pas ce que nous venons de vivre en direct.

Le camp mobile est installé à l’intérieur du parc, et démonté pendant la saison des pluies qui commence après notre départ. Après un bon dîner, un guerrier Masaï nous accompagne à nos tentes, de la grandeur d’un studio, elle comprend lits, douche, wc. L’eau est chauffée par le soleil dans un bidon individuel. Il attend même pour repartir que l’on soit à l’intérieur, double fermeture baissée au maximum. Interdiction de sortir la nuit de la tente, et surtout ne pas entreposer de la nourriture à l’intérieur. Nous entendons les hyènes, des oiseaux, et autres animaux. Dans la nuit un bruit sur la toile me réveille. Je pense que c’est un phacochère qui cherche à manger avec son groin. Le matin le guide me dit que c’était un hippopotame. L’animal le plus dangereux et le plus meurtrier d’Afrique. Si on ne va pas sur son territoire dans l’eau, il n’attaque pas.

 

17/02 - SERENGETI - CRATERE DU NGORONGORO - KARATU

Petit’déj sous une grande ramée ouverte. On prépare notre pique-nique du midi.

Direction vers le mythique cratère du Ngorongoro pour y effectuer un safari au cœur de cet amphithéâtre naturel qui offre la possibilité d’y rencontrer les « Big Five » : l’éléphant, le lion, le buffle, le léopard et le rhinocéros. Hier nous en avons vu 4, il nous manque le rhinocéros.

Le cratère du Ngorongoro est une vaste caldeira circulaire de plus de vingt kilomètres de diamètre et 600 mètres de hauteur, située au cœur du massif du Ngorongoro. Ce cratère, aujourd'hui éteint, s'est formé à la suite de l'effondrement d'un volcan sur lui-même lorsque sa chambre magmatique s'est vidée au cours d'une éruption volcanique. Le Ngorongoro est la plus grande caldeira intacte et non submergée au monde1avec 326 km2 de superficie(3 fois la surface de Paris. Elle est située dans l'aire de conservation du Ngorongoro.

Cette caldeira est un vrai paradis sauvage. Considéré comme la 8e Merveille du Monde et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, le cratère du Ngorongoro est la réserve d’animaux sauvages la plus célèbre du monde. Ce parc regroupe plus de 25.000 animaux dont 500 espèces d'oiseaux et 50 espèces de mammifères, à l’exception toutefois de l’impala et de la girafe. Ils y a 18 rhinocéros, et nous espérons bien en voir. Malgré que vu d’en haut, on se demande bien comment les animaux se dissimulent, une fois à l’intérieur, il faut scruter le paysage pour finir par en apercevoir un au milieu d’une plaine.

 

Pique-nique au bord de l'étang Ngoitokitok où une quinzaine d’hippopotames prennent un bain. Nous apercevons les paires d’yeux à la surface, et de temps en temps une tête reprend sa respiration avant une longue apnée.

L’orage monte, la pluie arrive.

Au loin 3 lionnes et leurs 9 lionceaux jouent comme des chatons.

4 frères lions adultes traversent la savane. Une autre lionne part en chasse.

Plein les yeux, la tête remplie d’images étonnantes et superbes, nous remontons le cratère vers notre lodge du 14/2 à Karatu.

En aval de la route, on aperçoit un village Masaï, les vêtements rouges se distinguent bien sur le vert de l’herbe. Un boma est un groupe de maison en cercle, ceint par une clôture formée de branches épineuses, forme un enkang. Les troupeaux sont regroupés au centre de ce cercle durant la nuit afin de les protéger des prédateurs. Un ensemble d’habitation formant un village est nommé boma. Leur petite maison circulaire est faite de branchages entrecroisés, recouverts de bouse de vache et de boue : une pièce pour discuter, une pièce pour les animaux, la pièce principale où il y a le feu pour cuire les aliments et les nattes pour dormir, posées par terre. Il n'y a pas de meubles.

Souvent une seule famille compose le village. Polygames, les hommes possédant un grand troupeau auront plus de femmes et plus d’enfants, et plus le village sera important.

Nous profitons une dernière fois de la piscine, d’un apéro en terrasse, d’un bon dîner et d’une bonne nuit. 

18/02 - : ARUSHA / ZANZIBAR (STONE TOWN)

Le matin nous avons pris la direction de l’aéroport. La pluie de la nuit avait inondé la route sur environ 2 ou 300 mètres. Les voitures berlines ne pouvaient pas passer. Le vol se fait dans un petit avion, l’arrivée au dessus de Zanzibar est magnifique. L’eau turquoise, le sable blanc, les toits en tôle brillent, la barrière de corail.

Un chauffeur nous conduit à un ancien palais, transformé en Hôtel.

 

Le soir nous dînons sur une place qui ressemble à Jemaa el Fna de Marrakech. Des petits restaurants ambulants nous proposent viandes et poissons grillés. 

19/02 - STONE TOWN

 

La matinée se passe dans les rues et les magasins d’artisanat. L’après midi nous prenons une pirogue à moteur pour aller faire du snorkeling(masque tuba) sur l’île de Changuu Island. Une petite île au large de Stone Town et réserve de tortues de terres géantes arrivées des Seychelles au

XIXème siècle. Aussi connu sous le nom de Prison Island, elle a été utilisée pour la détention des esclaves désobéissants, puis une prison y a été construite en 1893, mais cette dernière n’a jamais été utilisée. L’endroit est idéal pour se relaxer, se baigner, profiter de la plage. Malheureusement les coraux et les poissons se font rares.

20/02 - STONE TOWN – JAMBIANI (côte Sud-est)

A 10H taxi nous conduit à Jambiani.

S’étendant sur plus de 4km, Jambiani est l’un des endroits les plus vivants de la côte est. Ce petit village de pêcheurs pittoresque dispose de superbes plages bordées de cocotiers. L’eau y est magnifique, entre le turquoise et l’émeraude…Le cadre est idyllique pour y effectuer quelques balades à pied et surtout quelques baignades. Le B&B, tenu par Lisa, belge expatriée depuis 7 ans à Zanzibar, avec 5 chambres d’hôtes en bungalows, sur la plage nous préparait de très bons repas, digne des bonnes tables françaises. Nous étions les seuls, la fin de saison et la fermeture approchant, peu de touristes sur l’île étaient présents.  

21/02 –   JAMBIANI

Nous avons passé deux jours de repos total. Baignade interminable des enfants, balades, bières et cocktails à l’ombre des cocotiers dans les bars alentours, siestes, jeux de mölkki, poissons grillés, bronzette rapide car la température dépasse les 30°. Le soir des enfants venaient jouer au foot sur la plage, Maxence s’est mêlé à la partie. Des jeunes hommes effectuaient des numéros d’équilibre et de gymnastique, les femmes récoltaient des algues accrochées sur des cordes fixées par des petits pieux à éviter en jouant dans l’eau pour ne pas se blesser.

Promenade dans le village et visites des quelques magasins peu achalandés. 

22/02 - JAMBIANI

Balade en Dow à la voile usée par le temps, dans le lagon où nous avons pu observer en plongée un peu de faune et de flore, proche de la barrière de corail.

Soirée sur la plage. Promenade, baignade, massages. 

23/02 – JAMBIANI

A 8 heures devant la poste, nous attendons le Dala-dala. Bus local pour nous mener à Jozani pour 1/2 $ par personne. Un mini bus klaxonnant tout les 10 mètres nous conduit à la forêt, prenant aux passages des femmes et leurs bébés, des hommes partant travailler, des chargements de bois et autres ballots. Nous avons évité le transport de chèvres ou de moutons. Assis sur des bancs en bois parallèles à la route, de chaque coté de la benne, nous avons mis une heure avec une bonne vingtaine de locaux pour faire les 20 km. Ambiance à vivre et à partager.

Le parc national Jozani est un parc national de 50km2. Il est le seul parc national de Zanzibar. Cette réserve est surtout connue pour abriter une grande population de colobes roux de Zanzibar. Cette espèce de singe est devenue l'emblème de la conservation de ce parc. En 2016, le parc a été reconnu réserve de biosphère par l'Unesco. 

24/02 - JAMBIANI – STONE TOWN – FRANCE

A midi le taxi nous conduit à l’aéroport, à 15h45 nous décollons pour Addis Abeba, à 5000 m d’altitude se détache au dessus des nuages le mont Kilimanjaro recouvert partiellement de neige, 5 heures d’escale, et vol vers Paris. 

25/02 - PARIS- MONTHOU sur Cher

Le taxi nous récupère vers 7h30, nous arrivons avant 10h à Monthou. Fatigués, mais plein de souvenirs et d’images fortes que nous ne revivrons certainement pas dans les prochains mois.

Merci Nomade aventure. 

 

 

le reste des photos est dans notre album, voir le lien en haut de page.


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Commentaires: 1
  • #1

    jip.odet (mardi, 28 mars 2017 04:44)

    On dirait un article de Geo. Beau reportage mon José. Ta reconversion est en route.